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Thérapie et méthode

 La psychanalyse


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     La psychanalyse, c’est une approche unique qui permet de dénouer et de déjouer des fantasmes inconscients qui… Mais peut-être certains d’entre vous sont-ils déjà égarés à la lecture de ces deux mots : fantasme et inconscient, et serait-il judicieux de commencer par là.


     Dans l’ordre donc, un fantasme c’est un scénario imaginaire qui évoque la personne qui le produit, qui parle d’elle, qui la met en image ou en mots, et ce de manière consciente ou inconsciente. Pour faire simple, quand c’est conscient, on appelle cela « se faire un film », on parle alors d’imagination. Mais lorsque le fantasme est inconscient, hé bien on n’en parle tout simplement pas puisque précisément « inconscient » signifie que cela se situe hors du champ de la conscience. Cela veut dire que la personne n’en sait rien du tout, voire plus encore qu’elle n’en veut rien savoir. Et ça n’est pas une simple vue de l’esprit de dire cela, même s’il peut arriver qu’elle veuille le découvrir, délibérément donc consciemment, en venant en psychanalyse par exemple. Pourtant cette seule volonté consciente ne suffit pas : pour y accéder, il va falloir déjouer quelques « pièges », impasses, embuscades autrement appelés des résistances, qui oeuvrent en sous-marin sous forme de croyances en tous genre au sujet de soi-même, les autres, la vie, le monde, les relations, etc.


     Les croyances, non plus que les fantasmes, ne sont pas mauvaises en soi. Nous vivons et nous étayons sur un grand nombre de croyances – conscientes ou inconscientes – chargées d’un grand intérêt pour le bon déroulement de notre vie, quotidienne et en général. Par exemple, beaucoup croient qu’il est important de bien déjeuner le matin pour bien démarrer sa journée, et pour la plupart cela s’avère être une bonne chose. C’est donc ce qu’elles font sans plus se poser de questions. Cependant, parmi ceux qui croient cela, il en est pour qui cela peut devenir une croyance génératrice de perturbations car certains d’entre nous se sentent mieux à jeun le matin qu’après la prise d’un petit déjeuner. Ce type de croyance est assez simple à comprendre et elles sont en général plutôt conscientes. Au niveau inconscient, on peut avoir une croyance du type « je ne mérite pas l’amour d’autrui », associée à « je ne peux être aimé que si je me sens coupable », cela peut faire des ravages sans jamais donner l’impression que la personne soit impliquée directement dans ce qui lui arrive. Il s’agit là d’un exemple banal, il en existe autant que l’imaginaire peut en créer et elles vont toujours de pair, agissent de concert. Si vous ajoutez à cela que l’être humain possède une propension à changer le monde plutôt que lui-même, donc à voir autour de lui ce qu’il se refuse à voir chez lui – entendez : à voir consciemment chez d’autres ce qui est inconscient chez lui donc inaccessible – ajoutez donc cela et vous comprendrez une infime partie des raisons pour lesquelles il est complexe de dénouer soi-même ses blocages, ses compulsions, ses problématiques.


     Le fantasme inconscient peut aller jusqu’à créer sa propre mort tragique avec son cortège de réactions de l’entourage, comme punition pour soi-même ou pour sa famille par exemple. Il va sans dire que dans ce cas, c’est tout le déroulement de la vie qui s’achemine doucement dans cette direction, sans que cela ne soit apparent. Pourtant, je vous assure que quand on le met à jour, ça parle d’évidence à dresser les poils.
On ne vient jamais en analyse – ni dans aucune autre thérapie – avec ce type de plainte mais plutôt avec des difficultés conscientes d’ordre relationnel, professionnel, compulsif, addictif, amoureux sexuel, familial, identitaire, bref tout ce qui fait le charme et la joie de la vie ou à l’inverse ce qui paralyse et embourbe. Il arrive alors en chemin que l’on croise des fantasmes inconscients.

      Je veux rappeler que rien n’est joué d’avance, qu’il n’y a ni recette miracle, ni interprétation toute faite, encore moins de solution qui conviendrait à un type de symptôme ou à toutes les personnes dans une situation similaire. En clair, on n’analyse personne à son insu, on ne peut que l’accompagner et le guider vers ses propres résolutions.
Ceci est une façon très succincte et incomplète de parler de la psychanalyse puisque celle-ci est aussi un processus qui se réinvente à chaque séance, et avec chaque personne. Il n’en existe pas deux semblables, à l’instar de la richesse de l’être humain.

Ecrivez votre histoire

Je vous propose une nouvelle façon de regarder votre histoire, que ce soit pour la raconter, pour la comprendre, pour y puiser des réponses à des questions anciennes ou présentes, pour dépasser des blocages ou des répétitions, bref pour vous apercevoir de ce qui se passe en vous et des liens relationnels de cause à effet par exemple qu’il y a entre ce qui vous arrive et ce qu’il est arrivé, à vous ou à d’autres dans votre famille à une autre époque.

Que ce soit simplement par désir de transmission, de mémoire de l’histoire familiale ou personnelle, ou avec l’objectif de démêler ce qui vous semble noué, écrire votre histoire, personnelle et familiale, peut parfois s’avérer un outil incontournable, en tous cas toujours instructif et moteur.

Vous pouvez en avoir l’idée, l’envie, depuis longtemps parfois, sans toutefois passer à l’action.

Forcément ce travail-là vous emmène dans des endroits pas toujours faciles à revisiter, pas toujours plaisant, ou simplement indifférents, et la motivation se perd cachée derrière un tas de « bonnes raisons », appelez cela autrement des rationalisations. Les freins ne manquent pas à ce genre d’entreprise et les questions de sens, de temps ou de capacité peuvent vite avoir raison de la meilleure intention ou volonté.

L’écriture telle que je vous la propose permet de contourner ces freins et d’entrer enfin dans la réalisation de votre projet.

Vous racontez, j’écris ce que vous dites, nous retravaillons ensemble votre texte.

Par mon écoute et mes questions, je vous propose une guidance en douceur qui vous permet de ne pas tomber dans le piège de l’évitement, sauf si c’est un évitement conscient et délibéré. Parfois aussi on peut omettre ce qui peut paraître un détail pour qui est impliqué dans l’histoire tellement connue, mais dont l’oubli enlève au déroulement son sens profond. Bref, si les obstacles invisibles sont nombreux, parvenir à les repérer et les déjouer n’est pas toujours facile quand on décide de se lancer dans cette aventure.

L’ambition de ce travail consiste à vous permettre de mettre en forme et par écrit, un texte de votre histoire ou de l’histoire de votre famille. Les deux sont intimement liées mais il est très intéressant de s’apercevoir qu’elles s’écrivent de manières différentes…

TARIF 30 euros l’heure d’écriture, à mon cabinet

 

Hypnose

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Les débuts de l’histoire de l’hypnose ne datent pas d’hier. C’est une pratique qui a été utilisée de tous temps et en tous lieux depuis les débuts de l’humanité. La raison en est simple : l’état hypnotique – ou état modifié de conscience, état de transe – est un état naturel et spontané qui découle de la concentration et peut aller jusqu’à un sommeil hypnotique profond. C’est un sommeil différent d’un endormissement physiologique dans lequel, à l’inverse du sommeil nocturne, le sujet est présent à ce qui se passe, il peut participer, par exemple répondre à des questions par geste ou par la parole.

Au 19eme siècle, Freud utilisait l’hypnose pour guérir ses patients avant d’abandonner cette technique au profit de celle de son invention – la psychanalyse – qui en découle directement avant d’être nourrie, approfondie et affinée, spécifiée au fil des générations de psychanalystes dans le monde.

 

 C’est Milton Erickson qui, 50 ans plus tard, renouvelle l’hypnose et en fait un moyen d’accéder, pour un sujet, à ses capacités d’apprentissage en vue d’utiliser ses propres ressources comme moteur du changement désiré.

 L’intérêt de cet état, en thérapie, réside dans le fait que le conscient, le mental, l’égo, lâchent le contrôle. L’inconscient se retrouve de fait mis en avant grâce à une profonde relaxation physique et psychique.

Cette technique permet au sujet, guidé par le praticien – dont la bienveillance est une qualité si évidemment indispensable que j’hésite à l’évoquer – avec habileté, de visiter son creuset de ressources, d’aptitudes, d’intuition, de créativité. Il va alors pouvoir épurer, trier, choisir, consolider, transformer.

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PNL

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La Programmation Neuro-Linguistique est un ensemble de techniques qui reposent sur le processus particulier de la modélisation. John Grinder et Richard Bandler en sont à l’origine. En observant précisément la suite d’étapes détaillées qui permet d’obtenir un résultat souhaité, on peut le modéliser, c’est-à-dire le séquencer de façon pragmatique pour l’utiliser dans un autre contexte. A partir de là découle un important décryptage du comportement humain jusque dans des détails qui n’en sont pas pour le praticien en PNL, tels que les fluctuations de la voix mais aussi le mouvement des yeux, les modifications de la couleur de la peau, la qualité des images ou des sons créés par la pensée, entre autres choses.

C’est un outil de communication qui décrit comment le langage et la pensée actionnent les leviers de nos comportements. D’où le terme de programmation. L’enjeu consiste à en défaire certaines parce qu’inadaptées dans un contexte précis pour en mettre en place d’autres plus appropriées.

En mettant l’accent sur la façon spécifique qu’on a de faire quelque chose, la PNL permet au sujet de créer ses propres choix, de développer ses capacités à agir et interagir librement, de découvrir le potentiel qu’il abrite.

 

 

Le Cabinet

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Sandrine Pascual D’Alessandro

-Professionnelle en cabinet libéral depuis 2010
-Membre du Centre de Recherche en Psychanalyse pendant 12 ans au sein de la SFPA
-Membre Agréé de la Société Française de Psychanalyse Appliquée pendant 13 ans
-Diplômée en 2009 de l’Institut Français de Psychanalyse Appliquée sous la direction de Chantal Calatayud

 

 

 

Le Cabinet

Contact : Sandrine Pascual D’Alessandro

365 Avenue de la 2eme Division Blindée

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06 01 74 20 36

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